Alex-Mot-à-Mots

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Alex L., lectrice compulsive, presque anonyme.
Ayant une préférence pour les bons polars, mais aimant aussi les autres genres (sauf la SF, pitié....)

Stéphane Gravier

Publibook

20,29
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2 janvier 2011

Voici un roman qui ne payait pas de mine au milieu des ténors du polar. Lystig, qui l'avait adoré, m'avait demandé d'aller lui faire dédicacer. Une fois ma mission accomplie, j'ai pu me délecter de la prose de l'auteur.
Bon, je l'avoue, c'est un livre très "écrit" et j'ai eu un peu de mal à entrer dans la mélodie des phrases très travaillées de l'auteur. Cependant, son humour décalé m'a tout de suite plu et j'ai accroché aux intrigues et ficelles et me suis laissée embarquer dans l'histoire.
Qui plus est, il est question d'hommes politiques corrompus ou ne pouvant résister à l'appel de la chaire ; de réseaux de syndicalistes travaillant en collaboration ; des limites de la médecine.
Sans oublier la dent de l'écrivain contre les architectes : des morceaux délectables et des charges toutes plus justes les unes que les autres contre ces gourous de notre quotidien.
Un régal, je vous dis....
L'image que je retiendrai :
Celle du personnage principal parlant à ses filles, je vous laisse devinez lesquelles..

Conseillé par
2 janvier 2011

Autant j'avais adoré "La ligne de sang", autant j'ai été quelque peu déçue par cette histoire très enchevêtrée aux personnages multiples.
La prise d'otage est peu crédible et les experts de la gendarmeries sont aussi rapides que ceux de la télé.
Ceci dit, nous devons rendre visite aux prochaines vacances à nos amis expatriés à Mozac, j'espère qu'il ne nous arrivera pas ce genre d'aventures

Conseillé par
2 janvier 2011

Un parallèle intéressant, même si le roman en lui-même ne me restera pas longtemps en mémoire.
Une plongée dans la guerre et l'après-guerre de 14 et de ses gueules cassées, de ses familles blessées et qui tentent de se reconstruire encore maintenant.
Un livre qui m'a semblé écrit plus pour le plaisir de l'auteur que pour le plaisir du lecteur.

15,00
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2 janvier 2011

Dommage que le titre en dise trop, et m'est apparu, au fil des pages, ce qu'a dévoilé la fin du roman.
Une réalité crue, comme les mots de Jeanne pour décrire l'arrivée de ses règles, qui la propulse au rang de femme : difficile pour elle de quitter son corps de petite fille.
Une relation malsaine avec Hector, le frère de Jeanne, faite de domination et de secret.
De jolies pages sur les luciolles, même si je ne suis pas fan. Mais une description des beauté de la nature trop en contraste avec ce que vit Jeanne. Un contraste trop violent pour moi.
L'image que je retiendrai :
Le geste final de Jeanne, ne pouvant exprimer autrement sa douleur.

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2 janvier 2011

Voici un roman plein d'humour ou le suspens monte au fil des pages : mais qui est le propriétaire de l'immeuble derrière tous ces meurtres (dont un par saut à l'elastique....) et qui choisit ses locataires avec une logique toute personnelle.