- EAN13
- 9782213676104
- Éditeur
- Fayard
- Date de publication
- 27/02/2013
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Fayard 18,00
La politique économique, de droite comme de gauche, a perdu toute efficacité
car elle s’appuie sur une philosophie « top-down », du haut vers le bas, du
macro au micro, du global au local. C’est l’héritage du keynésianisme que même
les politiques libéraux (y compris Sarkozy) ont appliqué aveuglement. Cela a
fonctionné pendant les Trente Glorieuses et jusqu’au début des années 1990. La
mondialisation a tellement complexifié le monde économique que cela ne marche
plus aujourd’hui. Il faut changer de paradigme et adopter une approche «
bottom up », du bas vers le haut, du micro vers le macro, sans pour autant
céder au chant des sirènes de l’autogestion et de la « démocratie
participative ».
Un tel renversement de perspective oblige à repenser complètement la politique
économique et tout particulièrement le rôle des corps intermédiaires
(syndicats, ONG, régions…). Il ouvre la voie à de nouvelles réformes, conçues
de manière démocratique et donc assurées d’être mises en œuvre. Grâce à cette
démarche, révolutionnaire mais parfaitement réaliste, la sortie de crise est
désormais possible.
car elle s’appuie sur une philosophie « top-down », du haut vers le bas, du
macro au micro, du global au local. C’est l’héritage du keynésianisme que même
les politiques libéraux (y compris Sarkozy) ont appliqué aveuglement. Cela a
fonctionné pendant les Trente Glorieuses et jusqu’au début des années 1990. La
mondialisation a tellement complexifié le monde économique que cela ne marche
plus aujourd’hui. Il faut changer de paradigme et adopter une approche «
bottom up », du bas vers le haut, du micro vers le macro, sans pour autant
céder au chant des sirènes de l’autogestion et de la « démocratie
participative ».
Un tel renversement de perspective oblige à repenser complètement la politique
économique et tout particulièrement le rôle des corps intermédiaires
(syndicats, ONG, régions…). Il ouvre la voie à de nouvelles réformes, conçues
de manière démocratique et donc assurées d’être mises en œuvre. Grâce à cette
démarche, révolutionnaire mais parfaitement réaliste, la sortie de crise est
désormais possible.
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