- EAN13
- 9782234082816
- Éditeur
- Stock
- Date de publication
- 22/03/2017
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
-
Papier - Stock 18,50
La presse présente Damien Careme comme le maire des migrants. À Grande-Synthe,
dans la périphérie de Dunkerque, il a ouvert en mars 2016, et sans attendre
l’aval de l’État, un camp pour ceux qui dormaient dans la boue aux abords de
sa ville.
Un combat à l’image de celui qu’il mène dans cette municipalité de 22 000
habitants dont il est maire depuis 2001. La dignité qu’il a rendue aux
migrants, il tente de la rendre à tous ceux qui vivent à Grande-Synthe où 30 %
des personnes vivent sous le seuil de pauvreté et 24 % sont au chômage, et il
a fait de ce devoir moral d’améliorer le quotidien des habitants, le fil
conducteur de son action politique. Ainsi, la ville est éclairée avec 100 %
d’électricité renouvelable et chauffée avec 75 % de gaz renouvelable. On y
roule à l’hydrogène. Une mutuelle a été mise en place pour tous, les cantines
sont bios ainsi que les vergers de la ville, en accès libre.
Grande-Synthe est devenue un immense laboratoire où l’on conjugue la ville au
futur et elle enchaîne les prix : « Capitale de la biodiversité », « Ville
zéro phyto, 100 % bio ». Damien Careme y invente l’écologie sociale et
réinvente le pouvoir de faire bouger les lignes.
« Je crois, comme Gandhi, que montrer l’exemple n’est pas seulement la
meilleure façon de convaincre ; c’est la seule. »
dans la périphérie de Dunkerque, il a ouvert en mars 2016, et sans attendre
l’aval de l’État, un camp pour ceux qui dormaient dans la boue aux abords de
sa ville.
Un combat à l’image de celui qu’il mène dans cette municipalité de 22 000
habitants dont il est maire depuis 2001. La dignité qu’il a rendue aux
migrants, il tente de la rendre à tous ceux qui vivent à Grande-Synthe où 30 %
des personnes vivent sous le seuil de pauvreté et 24 % sont au chômage, et il
a fait de ce devoir moral d’améliorer le quotidien des habitants, le fil
conducteur de son action politique. Ainsi, la ville est éclairée avec 100 %
d’électricité renouvelable et chauffée avec 75 % de gaz renouvelable. On y
roule à l’hydrogène. Une mutuelle a été mise en place pour tous, les cantines
sont bios ainsi que les vergers de la ville, en accès libre.
Grande-Synthe est devenue un immense laboratoire où l’on conjugue la ville au
futur et elle enchaîne les prix : « Capitale de la biodiversité », « Ville
zéro phyto, 100 % bio ». Damien Careme y invente l’écologie sociale et
réinvente le pouvoir de faire bouger les lignes.
« Je crois, comme Gandhi, que montrer l’exemple n’est pas seulement la
meilleure façon de convaincre ; c’est la seule. »
S'identifier pour envoyer des commentaires.