- EAN13
- 9782268074887
- Éditeur
- Éditions du Rocher
- Date de publication
- 07/05/2012
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Les commandos de l'Affiche rouge
La vérité historique sur la première section de l'Armée secrète
Arsène Tchakarian, Hélène Kosséian-Bairamian
Éditions du Rocher
Autre version disponible
Fin 1942. Dans Paris occupé par les Allemands, l'ouvrier poète Missak
Manouchian prend la tête d'un groupe de jeunes juifs, hongrois, polonais,
roumains, espagnols, italiens, arméniens, tous déterminés à combattre pour
libérer la France. Dans la clandestinité et au péril de leur vie, les membres
de ce groupe vont devenir des héros. Leurs actions : harceler l'occupant,
dérailler les chemins de fer, arrêter les dénonciateurs. Les services spéciaux
de la police anticommuniste de l'État vichyste, le B1 et le B2 installés à la
préfecture de police de Paris depuis aout 1942, sous les ordres du chef de la
police de la sécurité, et de deux agents, Roger et Albert, infiltrés dans les
organisations immigrées, permettent les arrestations des 23 combattants de la
première section parisienne de l'Armée secrète, fin novembre 1943. Le 21
février suivant, les membres du groupe de Manouchian sont condamnés à mort.
Les nazis vont faire de cette arrestation une propagande outrageuse et
placarder des affiches de ces hommes, transformés en criminels, sur les murs
du Tout-Paris et dans la France entière : l'armée du crime". Le jour même, à
15 heures, au mont Valérien, des salves de balles vont cribler les corps de
ces résistants. Arsène Tchakarian, dernier survivant de ces clandestins,
continue à faire vivre la mémoire de la Résistance et pose la question sans
détours. Il donne le nom du coupable, celui qui a sonné la mort de ces
compagnons de l'ombre.".
Manouchian prend la tête d'un groupe de jeunes juifs, hongrois, polonais,
roumains, espagnols, italiens, arméniens, tous déterminés à combattre pour
libérer la France. Dans la clandestinité et au péril de leur vie, les membres
de ce groupe vont devenir des héros. Leurs actions : harceler l'occupant,
dérailler les chemins de fer, arrêter les dénonciateurs. Les services spéciaux
de la police anticommuniste de l'État vichyste, le B1 et le B2 installés à la
préfecture de police de Paris depuis aout 1942, sous les ordres du chef de la
police de la sécurité, et de deux agents, Roger et Albert, infiltrés dans les
organisations immigrées, permettent les arrestations des 23 combattants de la
première section parisienne de l'Armée secrète, fin novembre 1943. Le 21
février suivant, les membres du groupe de Manouchian sont condamnés à mort.
Les nazis vont faire de cette arrestation une propagande outrageuse et
placarder des affiches de ces hommes, transformés en criminels, sur les murs
du Tout-Paris et dans la France entière : l'armée du crime". Le jour même, à
15 heures, au mont Valérien, des salves de balles vont cribler les corps de
ces résistants. Arsène Tchakarian, dernier survivant de ces clandestins,
continue à faire vivre la mémoire de la Résistance et pose la question sans
détours. Il donne le nom du coupable, celui qui a sonné la mort de ces
compagnons de l'ombre.".
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